Echelles du concours
Les échelles du projet
Pour répondre aux problématiques soulevées par les enjeux du concours, les candidats pourront prendre en compte plusieurs dimensions en jouant sur quatre échelles spatiales et quatre échelles temporelles.
Les quatre échelles spatiales
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Les candidats pourront choisir de détailler certaines parties du territoire dans leur projet, en s’attachant à des lieux qu’ils considéreront comme stratégiques dans les dynamiques territoriales ou qu’ils concevront comme des pôles structurants.
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Avoir une vision générale de la Communauté de Communes et démontrer la cohérence en termes de projet de territoire : en particulier penser les liens entre littoral, le plateau agricole et les activités économiques.
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La Communauté de Communes et son environnement : construire la continuité des circulations avec le reste du littoral et les territoires voisins, intégrer les grandes transformations régionales, nationales et internationales (Nouvelle Ligne Paris Normandie, Grand Paris, Réunion des régions…).
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La transversalité des échelles pour favoriser la cohérence territoriale et pour élaborer une stratégie globale.
Les quatre échelles temporelles
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L’échelle du quotidien et du permanent : la Côte d’Albâtre des résidents à l’année, des habitants, de ceux qui y travaillent…
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L’échelle intermédiaire, vacances scolaires et week-end : la Côte d’Albâtre des résidents secondaires et des visiteurs occasionnels.
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L’échelle de l’année avec une variété de rythmes : la Côte d’Albâtre au rythme des saisons, avec les pics de visiteurs de l’été, les atouts à valoriser lors des autres saisons.
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L’échelle du temps long, du patrimoine, du durable. La CCCA recèle des trésors patrimoniaux : clos-masure, châteaux, patrimoine bâti, patrimoine environnemental, savoir-faire, matériaux locaux (lin, terre, mer…). Elle possède des équipements (Base de loisirs du Lac de Caniel, Golf…) et veut développer des activités à long terme. Ce patrimoine présente un atout indéniable. Mais agir sur un aménagement au présent c’est aussi inventer un patrimoine pour l’avenir, et prendre en compte les problématiques écologiques (montée des eaux, érosion des falaises…).